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La journée du « Ruban Blanc »

C’est quoi ?
L’événement du Corona et son confinement a vu naître une nouvelle conscience.
Cette prise de conscience est la seule force qui va au delà de pouvoirs néfastes.
Il est donc primordial de l’exprimer, partager publiquement dès maintenant.
Toi, moi, des amis, des voisins et des personnes qu’on n’a jamais vu, tous réunis dans la rue, remerciant l’effort de chacun, oui chacun, parce qu’on ne saura jamais l’effort et la souffrance que l’autre a fait ou a vécu.
C’est simple, le « ruban blanc » est le symbole du « pansement » pour soigner toutes les blessures des êtres et de la terre. C’est le symbole d’un lien libre.
C’est bien sûr l’écho de remerciements à toutes les personnes qui ont soigné et aidé ceux qui étaient dans le besoin.
Cette conscience exprimée est certainement contagieuse et transformera notre vie quotidienne.
Déterminons sobrement notre mode de vie et notre place dans ce pays et le monde.
Cela veut dire NOUS et pas les décideurs. A partir de là, le juste partage se fera spontanément avec les talents et les efforts de chacun.
Quand la voie sera libre, il faudra choisir la bonne date (juin, … 12 juillet ? … etc).
Parlez en déjà autour de vous.
C’est une rencontre, un geste simple où nous nous exprimerons tous publiquement le même jour, ce qui fera jaillir une force insoupçonnable.

On appellera ce jour: la journée du « Ruban blanc ».

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Panser

Mettons fin à la souffrance, à l’ignorance et la beauté sera au rendez-vous.

Arrêtons de dominer l’autre, et partageons sobrement en conscience les ressources vitales dans le respect de Chaque forme de vie.

Arrêtons d’être notre propre ennemi, l’ennemi de l’autre, d’un peuple, de la terre et du ciel … c’est ça la révolution du silence.

Pansons le monde.

Cette violence ne vient pas seulement de « Lui » ou « Eux » mais d’un esprit global qui fond quand Ma conscience s’ouvre.

Enlevons notre manteau d’anciens bagages, comme ceux de la guerre qui ne font que ruine et misère.

Montrons à ceux qui se cramponne à cette force, que cette histoire est fini. Il n’y a jamais la paix après une victoire, ce n’est qu’un sursis, et tout recommence.

Il y a certes des difficultés à résoudre, mais arrêtons de faire de la vie une bataille.

Regardons bien cela dans notre vie quotidienne.

Explorons-nous au-dedans.

Les actes de bienveillance reviennent alors naturellement, sans ordonnance et notre quotidien aura des ailes de conscience, de force saine et de l’amour qui nous habite.

Imaginer, penser le meilleur et partageons le avec nos talents, sans orgueil. On aspire à une transformation? Elle ne peut être écrite, provoquée, obligée, mais rien que la prise de conscience ouvrira le nouvel espace qui s’appelle « liberté ».

Alors, oui c’est vrai, ce ne sera plus comme avant, une ancienne certitude va s’écraser, mais pas celle qu’on veut nous faire avaler pour faire de nous des humains médiocres.

Restons aussi précieux que notre plus belle pensée du coeur et avançons, même par un mouvement subtil.

Victor Hugo disait: «Chose inouïe, c’est au-dedans de Soi qu’il faut regarder le dehors ».

Panser le monde