Non, nous ne sommes pas en guerre contre un ennemi invisible.
Ce virus, ce vivant, ne nous attaque pas, il mute, il déménage sans violence, c’est sa nature.
Mais qui a provoqué son transfert? Qu’est ce qui se passe dans la chaîne de la biodiversité? Et si chacun restait à sa place dans ce beau monde!
Pouvons nous y réfléchir et voir que tout est interdépendant?
Nous, ce vivant « humain » nous nous sommes dévié de cet ordre de la nature.
Nous avons déjà livré moulte batailles contre notre propre espèce, des peuples ont été chassés, mutilés, tués, exterminés.
Cette attitude affreuse, brise la structure existentielle de la terre, des animaux, des végétaux, des minéraux, de l’eau et de l’air … de la planète entière.
Nos sens en accord avec l’esprit universel ont disparus.
Cette fonction agressive s’est élargie dans tous les domaines et a donné naissance aux actes malsains, par habitude, ignorance ou malveillance égoïste et ainsi l’injustice fait fortune.
L’un programme, un autre suit, mais sous différentes apparences et la pensée personnelle du profit est devenu prépondérant. La démesure a dépassé le sens naturel vital. Nous cachons cette démesure avec des lois de progrès, de confort et de plaisir qui ont pris la place de la sérénité et elle s’est emparée aussi bien de notre vie sentimentale, écologique que sociale.
Notre vulnérabilité devient palpable et c’est clair qu’un jour une autre forme du vivant pourrait totalement prendre le dessus, puisque la nature, la vie elle-même est le seul maître de cette univers insondable dont nous sommes les invités.
Pouvons-nous relire la lettre de 1886 écrite par Sitting Bull?